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assurage sur un point fixe loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1973 - «On a un assurage sur un point fixe, si le frein produisant le frottement est accroché à un point fixe indépendant de l'ancrage d'auto-assurage. Si ce frein est accroché au baudrier de l'assureur, on a un assurage au corps.» La Montagne et alpinisme, numéro 92, 54 - C.T.
bivouac fixe loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1925 - «Une initiative intéressante en matière de refuges : les BIVOUACS FIXES du Club Alpin Académique Italien [...] Ces bivouacs fixes sont de minuscules refuges qui ont à peu près les dimensions et la forme d'une tente [...] Chaque bivouac fixe possède cinq épaisses couvertures de laine, un fourneau, une lanterne, et quelques ustensiles indispensables.» R. alpine, vol.26, numéro 4, 171-2 - C.T.
camp fixe loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1952 - «L'installation de deux camps fixes dans les grottes de neige [...] favorisa la rapidité du parcours [...]» La Montagne, numéro 358, juill.-oct., 66 - C.T.
corde fixe loc. nom. f. ALP. - RSp., GR[85], ø d ; in Ga [1970] ; absent TLF.
1884 - «Nous prenons d'abord l'arête de gauche pour franchir la première portion. Ici la corde fixe nous est indispensable, car l'étroite crevasse qui nous sert d'échelle est toute garnie de verglas.» Annuaire du Club alpin fr. Année 1883, 95 (Paris) - C.T.
1895 - «Le long des cordes fixes, avec lenteur et à regret nous laissons aller.» R. alpine, numéro 9, nov., 271 - C.T.
1905 - « rochers que l'on a rendus plus faciles en y posant il y a deux ans une corde fixe.» La Montagne, numéro 8, août, 409 - C.T.
câble fixe loc. nom. m. ALP. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1952 - «Les traversées obliques prenaient du temps, mais vers le bas de la muraille, les câbles fixes guidaient et facilitaient la descente.» La Montagne, numéro 358, juill.-oct., 66 - C.T.
fixe-au-toit n.m. AUTOM. "galerie" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
• fix-o-Toit
 n. dép. 
1934 - «Avec le 'fix-o-Toit' [...] aucun trou à percer [...]» La R. du ski, n° 9, nov., XXII - C.T.
fixe-aux-roues n.m. AUTOM. "porte-skis" - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
• Fix-o-Roues
 n. dép. 
1935 - «'Fix-o-Roues' pour voitures décapotables et cabriolets [...] Comme, cette année, les voitures décapotables étaient très en faveur et le nombre en circulation en augmentation de mois en mois, le fabriquant du 'Fix-o-Roues' a créé un modèle de porte-ski pouvant convenir à ces voitures. Ce nouvel appareil, dénommé 'Fix-o-Roues' s'adapte sur la roue de secours AR, également sans percer aucun trou.» La R. du ski , n° 9, nov., XXV et n° 10, Noël, L - C.T.
1935 - «[...] de nouveaux porte-skis pour auto 'Fix-O-Roues' s'adaptant sur la roue de secours et à l'arrière.» Ski-Sports d'hiver, n° 34, nov., 59 - C.T.
fixe-semelle n.m. SKI - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1935 - «L'étrier Alpina perfectionné est extra résistant, muni d'un fixe-semelle réglable à crans d'arrêt, et percé d'une fente prévue pour la fixation de la courroie de rechange, ou pour attacher les skis en formation de traîneau.» La R. du ski, n° 8, oct., VI - C.T.
fixe-écrou n.m. TECHNOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1919 - «Fermadado - Fixe-écrou [...]» M. Mele Dander, Dizionario internazionale di aeronavigazione, 156 (Milan) - P.Z.
1925 - «Fermadado - Fixe-écrou [...]» A. Bertùccioli, Petit dict. illustré de l'aéronautique ital.-fr. et fr.-ital. (Livourne) - P.Z.
idée fixe loc. nom. f. INTELL.  "sens gén." - ND3, 1836, Landais ; FEW (4, 534a), GLLF, 1842, Mozin ; PR[73], Balzac (autre texte) ; DG, ø d ; TLF, cit. Martin du Gard, 1928.
1830 - «Les gens de bonne compagnie le /Lafayette/ représentaient comme atteint d'une idée fixe relativement à la garde nationale.» Balzac, Oeuvres, 3e let. sur Paris, XXIII, 119 (Calmann-Lévy) - P.E.
idée fixe post-onirique loc. nom. f. PSYCHOPATHOL. - ø t. lex. réf. ; absent TLF ; in Dabout (idée post-onirique) [1924].
1908 - «On connaît la possibilité d'apparition dans le décours de ces psychopathies subaiguës de délires systématisés secondaires, souvent organisés autour d'idées fixes post-oniriques et la fréquence de l'évolution ultérieure de ces délires post-confusionnels vers la chronicité et la démence.» E. Dupré et R. Charpentier, Les psychopolynévrites chroniques, in L'Encéphale, numéro 4, avr., 290 - M.C.
1910 - «L'automatisme ambulatoire alcoolique est, ou bien un type d'automatisme confusionnel avec ou sans idée fixe post-onirique, ou bien le produit d'une association hystéro-alcoolique.» Dr L. Lagriffe, Les fugues et le vagabondage, in Annales médico-psychol., II, 85 - M.C.
1911 - In titre : Dr Boudon et Delmas, Débilité morale avec obsessions-impulsions multiples et idées fixes post-oniriques, Soc. de psychiatrie, 18 mai, in Annales médico-psychol., II, 463 - M.C.
moustache (raser la - à qqn), moustaches (raser les - à qqn) loc. verb. non conv. ACT. OBJET "rosser" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1791 - «[...] qu'ils y viennent à présent : c'est qu'on vous leur rasera la moustache d'une belle manière : c'est avec des bâtons creux qu'on se bat, et non pas avec des crucifix.» Jean Bart, n° 129, 6 - P.E.
1791 - «Au reste, ce n'est pas la première fois que nos braves gardes nationales ont rasé la moustache des troupes de ligne aristocrates.» 1e let. bougrement patriotique de la mère Duchêne, 3 - P.E.
1793 - «Si nous berlaisons, les bougres viendront nous dicter des lois à coups de canon, boire notre bon vin, manger nos dindons, caresser nos cocottes, faire caca dans le bonnet rouge, nous raser les moustaches et se foutre de nous.» [Lemaire], La Trompette du père Duchêne, n° 115, 116 - P.E.
moustaches (couper les - à qqn) loc. verb. non conv. ACT. OBJET "rosser" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1803 - «LAVALEUR [vieil invalide]. Que ne puis-je encore te donner l'exemple, mom ami... Avec quel plaisir j'irais couper les moustaches... Ha, ha.» Désaugiers et Francis, Mylord Go, 8 (Cavanagh) - P.E.
moustaches (rogner les - à qqn) loc. verb. non conv. ACT. OBJET "rosser" - ø t. lex. réf. ; absent TLF
1791 - «[...] de grands secours qui seroient combattus, sans doute mais qui pourroient bien nous foutre du fil à retordre et nous rogner les moustache [sic].» [Lemaire], 256e let. bougrement patriotique du véritable père Duchêne, 3 - P.E.
onde fixe loc. nom. f. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1867 - «Voici comment ces ondes se distinguent des ondes progressives. Tandis que, dans celles-ci, les molécules entrent en vibration l'une après l'autre, dans les ondes fixes elles vibrent toutes à la fois et passent ensemble par les positions d'équilibre.» R. Radau, L'Acoustique ou les phénomènes du son, 168 (Hachette) - P.P.
prix fixe loc. nom. m. COMM.  "magasin" - FEW (9, 371b), GLLF, 1812, Mozin ; L (prix-fixe), DG, ø d.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1789 - «Aujourd'hui un prix fixe est un magasin où l'on peut marchander ; l'enseigne pris fixe est comme celle à la gerbe d'or.» Tout ce qui me passe par la tête, I, 26 - P.E.
*1822 - «FRANCOIS. Eh ! c'est le neveu d' vot' bru, la veuve Grand-Jean, le jeune Hyppolite, qui est commis dans un pris fisque.» Francis, Simonin, Dartois, Les Cris de Paris, 7 (Huet) - P.E.
prix fixe loc. nom. m. HÔTELL.  "restaurant" - GLLF, mil. 20e.
Compl.TLF (mêmes réf., ø texte)
1831 - «Pourquoi une sorte de pudeur aristocratique m'interdirait-elle de suivre la civilisation où il lui plaît de prendre un nouveau cours, et de franchir le seuil des restaurants à deux francs par tête ? Il faut bien le dire, l'existence des cartes secondaires s'est évanouie devant les prix fixes.» E. Roch, Le Palais-Royal, in Paris, ou le Livre des Cent-et-Un, I, 24 (Ladvocat) - P.E.
terme fixe loc. nom. m. PHYS. - ø t. lex. réf. ; absent TLF.
1749 - «Cette présomption verifiée par MM. de Tury & le Monnier, nous apprend que la chaleur de l'eau bouillante, qu'on regarde communément comme un terme fixe, ne l'est pourtant qu'à certaines conditions ; c'est pourquoi Fahrenheit, en construisant ses thermomètres, ne manquoit pas d'avoir égard à la hauteur actuelle du baromètre, & ne marquoit le terme de l'eau bouillante, au 212e degré, que dans les lieux & dans les tems où le poids de l'atmosphère soutenoit 28 pouces de mercure, mesure du Rhein, ce qui revient à peu près à 27 pouces 1/2 de France, hauteur moyenne du baromètre [...]» Abbé Nollet, Leçons de phys. expér., t.4, 44-45 (Guérin) - P.P.